Organisés par Dr Samuel Mathey, Président de la Fondation Africaine pour l’Entrepreneuriat et le Développement Economique (FAFEDE), en collaboration avec Kodioro Fofana, DG de Wali créative et Arthur Assi, DG de ProchMédia, la 2e édition du Salon des Téléphones et Applications Mobiles (STAM) verra la participation de 15 pays africains qui nous viennent à la fois des zones anglophones, du Maghreb et de l’Afrique francophone. Cette nouvelle édition sera meublée par des conférences animés par des experts du digital, des panels, des masters class et des Awards du STAM. Parce que nous sommes dans une ère de révolution du digital et du numérique, que l’Afrique compte à ce jour près de 270 millions d’utilisateurs actifs du mobile avec des populations qui passent en moyenne plus de 4 heures sur leurs téléphones, ce salon vise à rassembler les acteurs du secteur afin de maitriser l’écosystème digital et ses avantages pour nos pays, de se familiariser avec les nouvelles sorties et proposer d’autres idées novatrices au public.
Le STAM participe donc à la politique d’industrialisation engagée par plusieurs pays africains dont la Côte d’Ivoire et devient la plateforme idéale d’échanges entre les acteurs du secteur des téléphones et applications mobiles en Afrique notamment les chefs d’entreprises, les développeurs d’applications, les acteurs de la transformation digitale, des startups, des chercheurs, des étudiants, des maisons de téléphonies, des concepteurs d’applications mobiles... Pour Dr Samuel Mathey, les téléphones mobiles et applications doivent être le pilier de la croissance économique de nos pays parce que c’est un secteur qui génère plusieurs milliards de dollars à travers le monde, qui peut créer de l’emploi et qui peut changer notre société. Toutefois, même si l’Afrique possède des génies dans les secteurs et des personnes capables d’apporter de grandes innovations dans le domaine du numérique et de la digitalisation, ces acteurs manquent de visions et il existe une exploitation de la jeunesse sur des créations sur lesquelles ils auraient pu s’enrichir. C’est aussi pour pallier à cette problématique que la STAM a été initié. « Nous avons des talents, mais ces talents ne sont pas généralement capitalisés, ils ne sont pas encadrés. Il y a des structures qui viennent et qui usurpent certains de ces talents et pour nous il était important de fédérer ses talents, de les aider à se connecter a d’autres Africains pour pouvoir attaquer le marché mondial » confie Samuel Mathey
Au micro d’Africa Radio, Arthur Assi nous donne des précisions sur les activités de cette 2e édition du STAM, écoutons.
Côte d’ivoire : la 2e édition du STAM ouvre ses portes à la jeunesse de 15 pays africains
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