Parmi elles, 21 ont été placées en garde à vue sous la supervision du parquet, ont précisé les mêmes sources. Ces interpellations ont résulté d'opérations simultanées dans plusieurs villes du pays, conduites par des agents du Bureau central d'investigations judiciaires (BCIJ) et des forces spéciales antiterroristes de la Direction générale de surveillance du territoire national (DGST). Les suspects sont soupçonnés d'avoir "fait allégeance" aux groupes jihadistes de l'Etat islamique (EI) et d'Al Qaïda. Selon ces sources sécuritaires, des perquisitions ont permis de "saisir des armes blanches", "des publications faisant l'apologie du terrorisme et des documents portant sur des méthodes de fabrication d'explosifs". Si le Maroc a été épargné ces dernières années par des attentats liés aux groupes jihadistes, ses services de sécurité font régulièrement état de coups de filet anti-jihadistes et de projets d'attentat déjoués.
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