En outre, Paris "réitère sa ferme condamnation de la tentative de putsch en cours au Niger, ainsi que de la séquestration du Président Bazoum et de sa famille", ajoute le ministère français des Affaires étrangères dans un bref communiqué. La Cedeao, qui espère toutefois toujours parvenir à une résolution pacifique de la crise, n'a précisé lors de son sommet à Abuja aucun calendrier, ni le nombre ou l'origine des militaires composant cette "force en attente". Mais jeudi soir, à son retour à Abidjan, le président ivoirien Alassane Ouattara a déclaré que les chefs d'Etat de la Cedeao avaient donné leur feu vert pour que l'opération "démarre dans les plus brefs délais".
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