"Le danger de cette guerre est désormais une menace pour la paix et la sécurité régionale et internationale, parce que les rebelles ont cherché le soutien de hors-la-loi et de groupes terroristes de différents pays de la région et du monde", a déclaré le général, dirigeant de facto du pays depuis son putsch de 2021, qui représentait le Soudan à l'Assemblée générale de l'ONU. "C'est comme l'étincelle d'une guerre qui va déborder dans d'autres pays de la région". Il a accusé les Forces de soutien rapide (FSR) du général Mohamed Hamdane Daglo, ancien numéro deux du pouvoir militaire, d'avoir "fait venir des mercenaires de divers coins du monde, commettant les plus horribles crimes contre le peuple soudanais". "Ces groupes rebelles ont commis des crimes contre l'humanité et des crimes de guerre dans plusieurs régions du Soudan, mis en place un nettoyage ethnique et des déplacements forcés", a-t-il déclaré. Pour ces raisons, il a réclamé que les FSR et "leurs milices alliées soient désignés comme groupes terroristes".
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