Plusieurs études montrent que la santé mentale des femmes migrantes s'est nettement dégradée ces dernières années. De nombreux exilés sont confrontés au cours de leur parcours d’exil à des difficultés d’ordre psychologique en raison des violences subies dans leur pays, sur la route ou à cause de l’angoisse vis-à-vis de leur sort.
Selon l'Organisation mondiale de la santé, si la majorité des migrants ne développent donc pas de troubles de santé mentale, certains d’entre eux, notamment les demandeurs d’asile victimes de violences et demandant à être protégés des persécutions subies dans leur pays d’origine, représentent des populations dites « vulnérables » et susceptibles de développer des troubles.
Basée à Düsseldorf en Allemagne, Esther Mujawayo évoque la situation des femmes migrantes en Allemagne.
Survivante du génocide des Tutsis au Rwanda en 1994, Esther Mujawayo affirme que les survivantes jouent un rôle important au sein de la société rwandaise, elles sont des "passeuses de mémoire" dit-elle.
Esther Mujawayo
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