Au Gabon, le dialogue national débute officiellement ses travaux ce lundi 8 avril. Jusqu’au 30 avril, 600 participants, politiques, religieux, militaires et membres de la société civile sont au stade de l’Amitié pour ébaucher le Gabon de demain. Sept mois après le coup d’État militaire, la concertation doit aboutir à de profondes réformes institutionnelles, politiques, économiques et sociales dans le pays.
Trois grandes commissions ont été créées pour ce dialogue national : politique, économique, sociale. À l’intérieur, 12 sous-commissions en tout, et les 600 panélistes répartis dans ces groupes.
Selon Marc Ona Essangui, les différents dialogues qui ont eu lieu de 1990 à 2023 n'ont pas été souvent inclusifs. C'était beaucoup plus une affaire de partis politiques. Donc, la nouveauté est qu'il y a une forte implication d'autres personnalités, de membres de la société civiles et de communautés religieuses, selon lui.
Le troisième vice-président du Sénat affirme qu'il faut rétablir une République avec des institutions fortes.
Marc Ona Essangui
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