Avec "Kongolese Sous BBL", Théodora met le 93 et le bouyon en tête des charts : attention phénomène !

Depuis son entrée en scène avec Le Paradis se trouve dans le 93 (LPSTD93), Theodora s’est affirmée avec sa voix et son style unique, incarnant une sorte de poétesse de rue. Cette artiste venue tout droit de Seine-Saint-Denis (93), avec son langage canaille et son authenticité brute, réinvente les codes de la pop française. Son récent morceau, Kongolese Sous BBL, ne cesse de prendre de l’ampleur : en tête du Top Viral France sur une plateforme d'écoute, il a déjà atteint sur cette dernière 2 218 351 écoutes.

La reine du 93

Dans son univers, le 93 n’est pas un simple code postal, c’est un étendard. Elle l’illumine sans artifices. Ce qu’elle y capte, c’est une vie brute, comme ses mélodies et ses paroles, que l’on retrouve dans des clips aux couleurs acidulées. La jeune artiste, que l’on a vue récemment en couverture du magazine Mosaïque, ose des visuels affirmés, influencés par les années 2000, toujours dans un style urbain et audacieux.

Le phénomène "Kongolese Sous BBL" : viralité et affirmation

Ce qui fait l’effet d’une bombe sur TikTok ? Kongolese Sous BBL, hymne au bouyon, genre musical explosif né dans les Caraïbes et boosté par les Guadeloupéens. Theodora s’approprie le bouyon pour le fusionner à son style bien à elle, entre provocation et sensualité, un peu à la manière des superstars américaines Cardi B ou Nicki Minaj, mais sans jamais les copier. Cette chipie du 93 impose son style : authentique et puissant, un "bouyon à la française". Des jeunes dansent, chantent, et se reconnaissent dans cette artiste qui n’a pas peur de s’affirmer sans filtre.

Avec ce hit, elle fait son entrée dans le top 200 Spotify France, marquant une première incursion dans le Top 50.

BAD BOY LOVESTORY : un melting-pot de genres et d’émotions

Dans son premier album, BAD BOY LOVESTORY, Theodora s’amuse à défier les codes. Elle jongle avec des influences variées : du shatta à l’afro, en passant par l’amapiano, le kompa, et même des touches de variété française. Ce projet éclectique est autant un hommage à ses origines multiples (Congo, Réunion, et France) qu’un voyage introspectif. Ses paroles oscillent entre histoires d’amour, peines de cœur et egotrip : c’est un univers où l’audace et la vulnérabilité cohabitent.  Elles sont portée par les productions minutieuses de JEEZ SUAVE, son frère et producteur attitré, qui insuffle cette énergie obsédante à ses compositions.

Theodora, "Freaky Nasty Gyal" au sommet

La scène française a trouvé sa "Freaky Nasty Gyal". Theodora incarne cette féminité puissante et provocante, sans jamais perdre de vue ses racines. Elle émerge comme une artiste à la fois féroce et tendre, forte et sensible. Entre sold-outs à la Gaîté Lyrique, collaborations avec Louis Vuitton et Converse, et une fanbase qui dépasse désormais les 300 000 auditeurs mensuels, Theodora prouve qu’elle est là pour durer.

L’année 2024 semble bien être celle de sa consécration, car avec BAD BOY LOVESTORY, Theodora rappelle qu’elle est ici pour rester, et que la scène musicale n’a qu’à bien se tenir.