En République de Guinée, les Forces Vives de Guinée, regroupant des partis d’opposition et de la société civile, ne veulent plus reconnaitre les autorités militaires à partir de demain
Le 31 décembre 2024, c'était la date limite promise pour le retour à l'ordre constitutionnel en Guinée, celle aussi qui avait fait l'objet d'un accord avec la Cédéao. Les autorités de la transition ont confirmé que la date ne serait pas tenue, évoquant une deuxième phase, la « refondation de l'État »
📍🇬🇳Les Forces Vives de Guinée réitèrent leur décision de ne plus reconnaître, à partir du 31 décembre 2024, la junte. Ils exigent son départ et la mise en place d'une transition civile en Janvier 2025. 👇#TransitionMandatMaara pic.twitter.com/L3F12CkGmZ
— FNDC-GUINÉE (@FNDC_Gn) December 25, 2024
Un nouveau bras de fer est attendu entre les militaires et l’opposition
Près de trois ans après l'arrivée au pouvoir des militaires dirigés par le général Mamadi Doumbouya, la perspective d'un retour à l'ordre constitutionnel en Guinée ne cesse de s'éloigner, selon Aliou Barry, directeur Centre d'analyse et d'études stratégiques de Guinée, basé à Conakry.
Ecoutez Aliou Barry
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