Reconnues comme une violation des droits humains, les mutilations génitales féminines portent atteinte aux droits fondamentaux des femmes et des filles : santé, sécurité, intégrité physique et droit à la vie lorsque ces pratiques entraînent des conséquences mortelles.
Les mutilations génitales féminines : un crime puni par la loi
Les mutilations sexuelles féminines sont interdites en France, même si elles sont pratiquées à l’étranger. La loi française considère ces actes comme un crime, et des poursuites judiciaires peuvent être engagées contre les responsables.
Quelle est la situation en France et en Afrique ?
Si des progrès ont été réalisés, les MGF restent un fléau dans de nombreux pays d’Afrique et touchent encore certaines communautés en France. Des associations et ONG se mobilisent pour sensibiliser et accompagner les victimes dans leur reconstruction.
Comment aider les femmes victimes d’excision à se reconstruire ?
- Prise en charge médicale : soins chirurgicaux et suivi psychologique.
- Soutien juridique : aide aux démarches judiciaires pour poursuivre les auteurs.
- Accompagnement social : insertion professionnelle et autonomisation des victimes.
- Sensibilisation et prévention : éducation des jeunes filles et campagnes de lutte contre les MGF.
Replay du magazine "Les Rendez-Vous Santé" du jeudi 6 février 2025
Nos invités du jeudi 6 février sont Dado Kamara, gynécologue médical basée en région parisienne et Diaba Sidibe, présidente de l’association pour les femmes excisées, basée à Aubervilliers en Seine-Saint-Denis.
Journée internationale contre l’excision : où en est-on aujourd’hui ?
Lutter contre l’excision, c’est protéger des millions de filles et de femmes dans le monde. Mobilisons-nous pour éradiquer cette pratique et accompagner celles qui en sont victimes.
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