La France a annoncé mercredi vouloir réévaluer ces accords après une attaque à l'arme blanche à Mulhouse, perpétrée par un Algérien en situation irrégulière. Le Premier ministre français, François Bayrou, a déclaré que l'Algérie avait refusé de reprendre cet individu, pourtant présenté "quatorze fois" aux autorités algériennes.
L'Algérie réplique avec la menace de réciprocité
Face à cette pression, Alger affirme ne pas être à l'origine de la rupture et rejette la responsabilité sur Paris. Le ministère algérien des Affaires étrangères prévient qu'il appliquera "une réciprocité stricte et immédiate" à toute restriction de mobilité. Toute remise en cause des accords de 1968 entraînerait une annulation similaire des protocoles franco-algériens en vigueur.
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