Face aux nombreuses spéculations sur l’origine de ces cas, Mike Ryan, responsable des situations d’urgence à l’OMS, a indiqué que les symptômes ressemblaient davantage à un épisode toxique qu’à une maladie virale. Les tests menés sur place ont exclu les fièvres hémorragiques telles qu’Ebola ou Marburg. Selon les autorités locales, la contamination d’un point d’eau pourrait être en cause.
Un enpoisonnement chimique n'est pas exclu
L’OMS n’exclut pas la possibilité d’un empoisonnement chimique, bactérien ou viral, rappelant un précédent épisode en 2024 où des décès inexpliqués avaient finalement été attribués à la malaria et à des infections respiratoires aggravées par la malnutrition. "Dès qu’il ne s’agit pas d’un virus menaçant le monde entier, plus personne ne s’y intéresse", a regretté M. Ryan, soulignant la vulnérabilité persistante des populations locales.
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