Entre juin et septembre 2024, des précipitations inédites ont frappé le pays, y compris les zones désertiques du nord. Certaines régions ont enregistré jusqu’à 200 % d’excédent de pluies, menaçant des sites historiques comme la mosquée d’Agadez. Les villes les plus touchées sont Maradi, Tahoua, Zinder et Dosso.
Un impact humain et économique considérable
Outre les pertes humaines, les inondations ont blessé 405 personnes, détruit 158 000 habitations et décimé 31 000 têtes de bétail. Des milliers de déplacés ont été accueillis dans des écoles, retardant la rentrée scolaire. Face à cette crise, les autorités ont distribué des vivres et du matériel d’urgence.
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