L’homme, identifié comme Alphonse K., a été mis en examen vendredi 28 février 2025 à Paris et placé sous contrôle judiciaire. Il est accusé d’avoir encouragé les massacres lors d’une réunion en mai 1994 et d’avoir ordonné l’extermination de patients tutsi dans un hôpital de Butare.
Un dossier sous haute tension
L’enquête, menée par le parquet national antiterroriste et l’OCLCH, repose notamment sur une retranscription de ses propos, qu’il conteste. Son avocat dénonce une instrumentalisation politique. Le génocide des Tutsi a fait, selon l’ONU, 800 000 morts entre avril et juillet 1994.
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