Depuis le début de la CAN 2012, la sélection de Côte d'Ivoire vit repliée, refermée sur elle-même. Les médias présents à Libreville s'en agace mais les Eléphants, résultats à l'appui, continuent à vivre dans un véritable bunker où quasiment rien ne filtre.
(de notre envoyé spécial à Libreville) Il n'est pas toujours évident d'avoir accès aux joueurs de football, surtout en sélection nationale. Très demandées, les stars du ballon rond enchaînent les sollicitations. Sauf chez les Eléphants qui ont poussé à son paroxysme l'axiome "Pour vivre heureux, vivons cachés". C'est bien simple, la Fédération ivoirienne a dressé un véritable bunker autour de ses internationaux avec, Eric Kakou, l'attaché de presse, en garde chiourme. Le but ? Permettre aux joueurs de se concentrer sur leur CAN. Un objectif louable mais qui, dans les faits, empêche les journalistes de faire leur travail. Un véritable cordon sanitaire qui (...)
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(de notre envoyé spécial à Libreville) Il n'est pas toujours évident d'avoir accès aux joueurs de football, surtout en sélection nationale. Très demandées, les stars du ballon rond enchaînent les sollicitations. Sauf chez les Eléphants qui ont poussé à son paroxysme l'axiome "Pour vivre heureux, vivons cachés". C'est bien simple, la Fédération ivoirienne a dressé un véritable bunker autour de ses internationaux avec, Eric Kakou, l'attaché de presse, en garde chiourme. Le but ? Permettre aux joueurs de se concentrer sur leur CAN. Un objectif louable mais qui, dans les faits, empêche les journalistes de faire leur travail. Un véritable cordon sanitaire qui (...)
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