« Quand j'étais petit, j'étais noir », c'est par cette formule imagée que Michel Ocelot commence son histoire. L'histoire qui le lie a son petit personnage devenu culte Kirikou. De son enfance en Guinée il reste donc des traces, des traces profondes, des traits de lumière, des ambiances, des souvenirs. De quoi donner vie à un village africain où les habitants auraient tous une forte personnalité à l'instar de la femme forte et où le héros, haut comme trois pommes serait symbole de douceur et de force, de gentillesse et de caractère, de droiture et de ruse, bref tout simplement humain !Rencontre en trois parties :Michel Ocelot revient sur son enfance, son rapport à l'Afrique et son besoin de transmission.Retour sur la genèse de Kirikou : « Kirikou et la sorcière a changé ma vie » « Kirikou et les hommes et les femmes », pourquoi une suite ?Critique : Kirikou revient sur les écrans le 3 octobre prochain ! http://www.africa1.com/spip.php?article25007
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