Coup d'Etat en CentrafriqueL'ultime rendez-vous à Bangui, entre les troupes rebelles de la Séléka et le dernier carré de soldats loyalistes a donc eu lieu le samedi dernier. La présence de troupes sud-africaines et des forces des pays d'Afrique centrale n'a pu empêcher la prise de Bangui par la rébellion. Cette issue était devenue de plus en plus prévisible depuis l'ultimatum lancé au pouvoir par la coalition rebelle, suivi de la reprise des hostilités. Après la prise de Bangui et la fuite de Bozizé, une nouvelle page s'ouvre pour ce pays abîmé par des années d'instabilité et d'insécurité. Le nouveau chef d'Etat autoproclamé, Michel Djotodia, président de la Séléka, parviendra-t-il à créer les conditions pour une normalisation de la vie politique et sociale, et pour la reconstruction d'un Etat devenu inexistant ? Réponse dans ce Grand Débat.Invités :_ Eric Néris-Massi, Porte-parole de la Séléka_ Marie-Reine Hassen, Ancienne ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale de Centrafrique_ Manoël Mageot, Président du Frap (Front républicain pour l'alternance et la paix)_ Colonel Parfait Mbaye, (Ancien ?) Deuxième vice-premier ministre chargé des affaires étrangères (dans le gouvernement d'union de Tiangaye). Porte-parole de François Bozizé en 2003
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