Q - Au Mali, les mouvements touareg et arabe du MNLA/MAA/HCU ont annoncé suspendre leur participation au processus de paix de Ouagadougou, accusant Bamako de ne pas avoir respecté ses engagements sans plus de précision. Quelle est la réaction de la France ? Craignez-vous une reprise des hostilités ?
R - Il est important que le processus de dialogue se poursuive, en vue de parvenir à une véritable réconciliation entre Maliens.
La France appelle toutes les parties à faire preuve d'une attitude constructive, à s'abstenir de tout recours à la violence et à mettre en oeuvre les mesures de confiances prévues à Ouagadougou.
Nous renouvelons notre soutien au président Keïta dans ses efforts pour relever les défis de la stabilisation, du développement et de la paix au Mali.
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