La défense de Teodorin Obiang a dénoncé vendredi une "décision militante" après la condamnation du vice-président de Guinée équatoriale à trois ans de prison avec sursis pour s'être frauduleusement bâti en France un patrimoine considérable.
"Nous allons examiner tous les recours possibles", a indiqué Me Emmanuel Marsigny après ce jugement très attendu dans le premier procès des "biens mal acquis" à Paris.
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