"Il s'agit d'un acte de clémence et de pardon" qui concerne 4.200 des quelque 19.000 prisonniers, selon un communiqué."Cette grâce ne supprime pas l'infraction commise, ni le jugement ni l'arrêt de condamnation. Mais elle se limite à atténuer les conséquences en faisant cesser l'exécution de la peine ou en allégeant celle-ci".Hasard du calendrier, ces mesures gouvernementales coïncident avec une déclaration des syndicats de l'administration pénitentiaire ivoirienne, dénonçant une surpopulation carcérale et le manque de moyens.
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