Les ministres qui avaient servi sous le régime Ben Ali et qui ont été maintenus dans le gouvernement tunisien ont "les mains propres" et ont toujours agi pour "préserver l'intérêt national", a déclaré sur Europe 1 le Premier ministre Mohammed Ghannouchi.
Le chef islamiste tunisien Rached Ghannouchi, en exil à Londres, ne pourra retourner en Tunisie que "s'il y a une loi d'amnistie" effaçant sa condamnation à la prison à vie datant de 1991, a-t-il poursuivi.
Le Premier ministre a également indiqué avoir eu "l'impression" que Leïla Trabelsi, la femme du président déchu Zine El Abidine Ben Ali, dirigeait le pays à la fin du règne de l'ex-homme fort de Tunis.
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