La présidence camerounaise a reconnu, mardi 21 avril, que le massacre de civils à Ngarbuh dans la région Nord-Ouest avaient été commis par l’armée. Jusqu’ici, le gouvernement camerounais évoquait un « malheureux accident » et rejetait les rapports des ONG. Cet aveu marque-t-il un tournant dans la gouvernance du secteur de la sécurité au Cameroun ? Nous en parlons avec Léon Koungou, chercheur en politique de sécurité.
Des propos recueillis par Stéphanie Hartmann
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