Accusé d'avoir acheté en 2007 sa résidence d'Abidjan avec des fonds publics, M. Soro, qui vit en France, a été condamné à "20 ans d'emprisonnement, 4,5 milliards F CFA d'amendes" (6,8 millions d'euros), la confiscation" de sa maison et la privation de droits civiques pour 5 ans.
Un nouveau mandat d'arrêt a été émis à l'encontre de l'ancien président de l'Assemblée nationale qui, sauf appel fructueux, se voit ainsi interdire de se présenter à la présidentielle d'octobre.
"Je reste candidat à la présidentielle et je gagnerai", a réagi rapidement M. Soro sur les réseaux sociaux, qualifiant le procès de "parodie".
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