En juillet 2018, une vidéo prise en 2015 montrant des soldats exécutant sommairement ces deux femmes, les yeux bandés, ainsi qu'une fillette et un bébé que l'une d'elles portait sur le dos, dans l'extrême-nord du Cameroun où l'armée combat des groupes jihadistes, avait été diffusée sur les réseaux sociaux. Le gouvernement avait nié l'implication de son armée dans un premier temps, avant de faire arrêter 7 suspects. Deux ont été acquittés.
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