A moins de quatre mois des élections présidentielle et législatives, c'est l'incertitude en Centrafrique. Les autorités ont annoncé un projet de loi pour modifier le code électoral et permettre la tenue des élections dans les délais constitutionnels. Un projet de loi rejeté par l’opposition, réunie au sein de la Coalition de l’opposition 2020. Elle estime que le glissement est inévitable.
Nous en parlons avec Mahamat Kamoun, ancien premier ministre sous la transition en Centrafrique, et président du mouvement « Be Afrika ti é Kwè » (« Centrafrique pour nous tous »).
Des propos recueillis par Stéphanie Hartmann.
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