Sur ces 21 morts, onze personnes ont disparu au Mozambique, quatre au Eswatini, trois au Zimbabwe, deux en Afrique du Sud et une personne à Madagascar, touchée un jour avant la zone côtière du continent, précise un communiqué du Bureau des Nations unies pour la coordination des affaires humanitaires.
La grande majorité des personnes affectées se trouve dans la région de Beira (centre), deuxième ville du Mozambique, sur l'Océan Indien.Cette zone se remettait difficilement des ravages provoqués en 2019 par les cyclones Idai et Kenneth, qui avaient tué quelque 700 personnes.
Les zones inondées étant importantes, l'ONU signale un risque élevé de choléra.Près de 180.000 hectares de cultures ont également été noyés, ce qui pourrait provoquer aussi des dégâts conséquents lors de la prochaine moisson et fragiliser l'alimentation de ces populations.
Le nombre de personnes affectées ne cesse d'agugmenter, les équipes d'évaluation progressant lentement pour recenser les dégâts, précise le communiqué.
Plus de 20.000 maisons ont été détruites ou endommagées, principalement dans la province de Sofala, autour de Beira, précise aussi l'Institut national pour la gestion et la réduction des risques de catastrophes (INGD) du Mozambique.
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