Hier, mardi 20 avril, la France et l'Union européenne ont appelé à une transition limitée.
L'opposition tchadienne et la société civile dénoncent de leur côté un coup d'Etat. Tout comme, les rebelles du Front pour l'alternance et la concorde au Tchad. Selon leur porte-parole Kingabé Ogouzeïmi de Tapol, "si les militaires persistent dans leur coup d'Etat constitutionnelle, nous marcherons sur N'Djamena".
Des propos recueillis par Stéphanie Hartmann.
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