Pheel : Vous avez fait part de votre peine dès l’annonce de son décès ..
Koffi Olomidé : Hambak, c’était l’ami, le vrai, l’ami sincère qui sait consoler les larmes de celui qui a gagné son amitié. Je l’ai surnommé Demi-Dieu dans mon album en 1996, ça veut tout dire. C’est l’homme qui ne triche pas, jamais, celui qui fait ce qu’il promet. On s’est connu quand il était journaliste, avec son journal Le Patriote, on s’est retrouvé quand il était directeur de radio à Abidjan. On ne s’est jamais quitté. Quand il a fait de la prison pour des raisons politiques, je suis allé lui rendre visite. Quand j’ai eu besoin de lui il était là.
Pheel : Depuis deux jours et l’annonce de sa mort, on vous sent très touché ..
J’ai la gorge serrée. C’est difficile. Mais je suis là pour saluer l’Albatros, l’Iconos … mon Demi-Dieu et je suis sûr que le Créateur est heureux de l’avoir à ses côtés. Il ne doit pas s’ennuyer. C’est le meilleur danseur de Ndombolo du côté de la Côte d’Ivoire, il était toujours là pour faire la fête. Il était toujours là aussi pour aider les artistes.
J’adresse toutes mes condoléances à sa femme, à ses enfants et à tous les Ivoiriens qui sont dans la peine.
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