Pour THIERRY VIRCOULON, chercheur à l'IFRI, l'Institut français des Relations Internationales, spécialiste de l'Afrique centrale, cette annonce n'est que l'officialisation du rôle de François Bozizé au sein du CPC
« Il était déjà considéré comme le chef du CPC depuis les débuts du CPC. Il ne s'agit que d'une officialisation tardive. Cela confirme ce que disait officiellement le gouvernement : c'est-à dire que Bozizé est responsable de ce qui s'est passé en décembre. Et par conséquent, il doit être arrêté et jugé »
Pourquoi cette officialisation tardive ? Thierry Vircoulon a une idée « La principale raison est qu'il y a des perspectives de négociations, puisqu'il y a une tentative de négociations par l'Angola, et qui dit négociation, et par conséquent officiel, il doit y avoir un interlocuteur officiel »
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