Sensibiliser, informer, accompagner la jeunesse africaine dans la résolution des phénomènes de mobilité, de précarité et de clandestinité telle est la vocation de l’Ong Jeunesse Panafricaine. Parce que l’immigration clandestine est devenu un facteur de mortalité des jeunes en Afrique, l’Ong Jeunesse panafricaine s’engage à lutter contre cette immigration irrégulière en créant des activités incitatives telles que l’apprentissage d’un métier (Mécanique, Coiffure, Esthétique) pour un retour de ces jeunes allés à l’aventure ou pour ceux qui envisagent prendre « l’eau ». Mais encore, inciter la jeunesse ivoirienne et africaine au goût du travail, les encourager à entreprendre tant dans les zones rurales que urbaines.
C’est fort de cela qu’Ahmed Sylla, président de l’Ong Jeunesse Panafricaine à créer plusieurs garages automobiles en Côte d’ivoire afin de faciliter la réinsertion socio-professionnelles de plusieurs migrants revenus sur le territoire. Ce dernier et son équipe ont aussi noué des partenariats avec de nombreuses structures de beauté afin de permettre à ces jeunes femmes et hommes n’ayant aucun diplôme de se former afin de taire cette illusion que le paradis se trouve en Occident.
A long terme, l’Ong Jeunesse Panafricaine a pour objectif de créer des activités à revenu durable dans les secteurs tels que l’agriculture, la pêche, la menuiserie, l’électricité avec des formations spécifiques. Elle compte aussi participer à l’amélioration des conditions de vie des populations (installation des pompes à eau, des châteaux d’eau, construction des centres de santé, campagne de vaccination pour enfants…)
Pour que cette vision de l’Ong Jeunesse Panafricaine se réalise, Ahmed Sylla nous parle de ses attentes envers le gouvernement.
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