« On ne peut pas priver quelqu'un de sa liberté sans l'expliquer pourquoi. On est dans une situation arbitraire pour un état de droit, c'est inconcevable. La Cédéao, l'Union Africaine demandent également leur libération. L'armée, les autorités maliennes doivent entendre raison », déclare Alioune Tine.
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