"Je suis convaincu que si un accord de coopération est conclu avec le groupe Wagner et que l'armée privée Wagner commence à opérer au Mali, le contingent estonien s'en ira", a déclaré le ministre estonien de la Défense, Kalle Laanet, à la chaîne publique estonienne Vikerraadio. Les autorités de transition au Mali et leur président, le colonel Assimi Goïta sont soumis à des pressions, en particulier de la France et de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao, 15 pays), pour organiser des élections en février et renoncer à une éventuelle coopération avec le groupe de sécurité privée russe Wagner. Des milliers de Maliens ont manifesté mercredi à Bamako pour apporter leur soutien au gouvernement de transition dominé par les militaires face aux pressions internationales, rejetant l'"ingérence extérieure".
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