Washington et ces pays européens ont par ailleurs exigé le rétablissement au pouvoir du Premier ministre Abdullah Hamdok. Ce nouveau Conseil de souveraineté a été nommé jeudi par Le général al-Burhane, auteur d'un coup d'Etat le 25 octobre. Dans un communiqué commun, les Etats-Unis, l'Union européenne, le Royaume-Uni, la Norvège et la Suisse se sont dits "extrêmement préoccupés" par cette initiative, "contraire aux aspirations du peuple soudanais ainsi qu'à à la stabilité politique et économique du pays". "Nous déconseillons vivement toute nouvelle escalade et demandons à nouveau le rétablissement immédiat du Premier ministre Hamdok et du gouvernement de transition dirigé par des civils", ont-ils ajouté. Ces pays ont aussi exhorté les forces armées à "respecter les droits des citoyens soudanais à exprimer leurs opinions librement", à la veille d'une nouvelle journée de mobilisation, prévue samedi.
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