Ici, les jeunes discutent, sans langue de bois, des questions liées aux violences basées sur le genre. Ateliers, tables rondes, conférences sont au programme. Nous sommes à l’Université Félix Houphouët Boigny d’Abidjan-Cocody, où s'est tenue le week-end dernier la première édition du Festico, le Festival du Consentement. L’initiative est de l’Association « Stop au chat noir ». Stéphanie Armstrong, chargée de communication de l’événement.
Le festival a été aussi l'occasion pour certaines victimes de viol de témoigner du calvaire qu'elles ont eu à subir. Diane Moya, une jeune étudiante de 23 ans, y a échappé de justesse, elle raconte.
En Côte d’Ivoire, trois filles sur cinq, sont victimes de tout type de violences pendant leur enfance selon les données du ministère de la femme, de la famille et de l’enfant rendues publiques en 2021. Le gouvernement annonce le durcissement de la loi sur les violences sexuelles contre les femmes.
Reportage Festico 2022
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