Alors que le Burkina "s'achemine d'heure en heure vers un coup de force militaire", le Mouvement du peuple pour le progrès (MPP) dénonce également dans un communiqué "le saccage du domicile privé du chef de l'Etat" et "la tentative d'assassinat d'un ministre" dont il ne précise pas le nom. Le MPP dénonce également l'"encerclement" du palais présidentiel de Kosyam "par un groupe d'hommes armés et cagoulés", et "l'occupation de la radio et télévision nationale" à Ouagadougou. Le parti au pouvoir "appelle les forces de défense et de sécurité loyalistes, patriotes et républicaines à se démarquer de cette énième tentative de déstabilisation" et "à se mettre du côté du peuple burkinabè, de la légalité et de la démocratie". Donné par des sources sécuritaires arrêté par des mutins, le sort sur la situation du président Kaboré était confuse après des informations de source gouvernementale affirmant qu'il avait été "exfiltré" par sa garde afin d'échapper à une arrestation. L'Union africaine (UA) a fermement condamné la "tentative de coup d'Etat" au Burkina Faso, appelant l'armée nationale et les forces de sécurité" à assurer l'intégrité physique du président" Roch Marc Christian Kaboré et de son gouvernement.
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