Ces pays préviennent dans une déclaration commune qu'ils "ne soutiendront pas un Premier ministre ou un gouvernement nommé sans l'implication d'un grand panel d'acteurs civils". "Toute action unilatérale pour nommer un nouveau Premier ministre ou gouvernement saperait la crédibilité" des institutions de transition "et risquerait de plonger le pays dans un conflit", ont-ils ajouté, appelant à un "dialogue immédiat mené par les Soudanais et facilité par la communauté internationale". Pour ces pays, la démission d'Abdallah Hamdok, "deux mois après la prise inconstitutionnelle du pouvoir par l'armée, renforce la nécessité urgente de voir tous les dirigeants soudanais réaffirmer leur soutien à la transition démocratique".
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.