L'un a été tué dans le nord de la capitale Khartoum par des tirs de "balles réelles à la poitrine de la part des forces putschistes", a précisé cette association indépendante. Deux autres ont été tués à Omdourman, en banlieue de Khartoum. L'un "est décédé après avoir été blessé par balle au bassin par les forces putschistes" et l'autre a été tué par "un tir à la tête" par ces mêmes forces, selon ce Comité de médecins. Au total, 60 personnes sont mortes dans la répression des manifestations depuis le coup d'Etat du général Abdel Fattah al-Burhane le 25 octobre 2021.
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