Quatre personnes, trois hommes et une femme âgés de 25 ans à 38 ans, y comparaissaient aux assises, accusés d'appartenir à un réseau qui recrutait, sur de fausses promesses, des filles au Nigeria, organisait leur émigration périlleuse jusqu'en Europe, puis leur prostitution forcée en France. Lundi, l'avocat général devait prendre ses réquisitions. Mais le procès a été renvoyé sine die pour cause de coronavirus: Omos Wiseborn, qui avait été condamné à 19 ans de réclusion criminelle en première instance, a été testé positif. Seize victimes ont été identifiées dans l'affaire, dont deux sont mortes noyées en traversant la Méditerranée.
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