Guillaume Ancel revient sur sa condamnation.
Pour Hubert Védrine, ce jugement est une « décision forte » qui est « l’occasion de réaffirmer que la France n’est ni complice ni responsable du génocide des Tutsis ».
« Vis-à-vis de l’histoire, cela n’enlève rien du rôle qu’il a joué dans la politique de l’Elysée »
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