Kodjovi Obilalé a survécu aux balles des indépendantistes cabindais mais l'ancien gardien du Togo vit très mal l'oubli. Alors qu'il tente de se reconstruire, il a confié à Afrik-foot son désarroi d'être ainsi mis de côté par la fédération et le gouvernement togolais : "Il faut que cela bouge !"
"Aujourd'hui, je suis un mort vivant." Interrogé par Afrik-foot, Kodjovi Obilalé n'y va pas par quatre chemins pour évoquer sa situation. L'ex-gardien du Togo, victime d'une fusillade lors de la CAN 2010 en Angola, en a marre : il se sent abandonné par le gouvernement du Togo. "Depuis mon accident, rien n'a été fait. Cela fait un an que je suis sans nouvelle", explique l'ancien portier des Eperviers. A 25 ans, sa carrière s'est brisée net lorsqu'il reçoit une balle dans le dos et une autre dans l'abdomen alors que la sélection togolaise passe par la province indépendantiste du Cabinda pour se rendre à la Coupe d'Afrique des (...)
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"Aujourd'hui, je suis un mort vivant." Interrogé par Afrik-foot, Kodjovi Obilalé n'y va pas par quatre chemins pour évoquer sa situation. L'ex-gardien du Togo, victime d'une fusillade lors de la CAN 2010 en Angola, en a marre : il se sent abandonné par le gouvernement du Togo. "Depuis mon accident, rien n'a été fait. Cela fait un an que je suis sans nouvelle", explique l'ancien portier des Eperviers. A 25 ans, sa carrière s'est brisée net lorsqu'il reçoit une balle dans le dos et une autre dans l'abdomen alors que la sélection togolaise passe par la province indépendantiste du Cabinda pour se rendre à la Coupe d'Afrique des (...)
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