Après le match nul (0-0) des Lions indomptables face à leurs homologues du Sénégal comptant pour la qualification de la CAN 2012, samedi soir, des scènes de violences ont été observées dans la capitale camerounaise, Yaoundé. L'hypothèse d'une malédiction est également envisagée par l'opinion publique�?�
De notre correspondante Les Camerounais ont une fois de plus vécu le cauchemar de 2006, lorsque Womé Nlend avait raté le pénalty pendant les arrêts de jeu du match contre l'Egypte, privant ainsi les Lions Indomptables de la Coupe du Monde. La déception des spectateurs était grande. On a parlé alors de sacrifices à faire pour les ancêtres de Mfandena, le quartier sur lequel est bâti le stade Ahmadou Ahidjo�?� Samedi dernier, une scène identique s'est produite et dans les mêmes conditions : le même stade, les arrêts de jeu, les mêmes goals, le même un public surchauffé. Sauf que cette fois, c'est le capitaine des Lions lui-même qui a raté le pénalty à la dernière (...)
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De notre correspondante Les Camerounais ont une fois de plus vécu le cauchemar de 2006, lorsque Womé Nlend avait raté le pénalty pendant les arrêts de jeu du match contre l'Egypte, privant ainsi les Lions Indomptables de la Coupe du Monde. La déception des spectateurs était grande. On a parlé alors de sacrifices à faire pour les ancêtres de Mfandena, le quartier sur lequel est bâti le stade Ahmadou Ahidjo�?� Samedi dernier, une scène identique s'est produite et dans les mêmes conditions : le même stade, les arrêts de jeu, les mêmes goals, le même un public surchauffé. Sauf que cette fois, c'est le capitaine des Lions lui-même qui a raté le pénalty à la dernière (...)
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