La Cour d'appel de Tunis a accepté une demande de la défense pour relâcher Noureddine Boutar, mais sous condition de paiement d'une caution de 1 million de dinars (environ 300 mille euros). M. Boutar avait été interpellé le 13 février dans le cadre d'une vague d'arrestations d'opposants et d'autres personnalités de premier plan, soupçonnées de comploter contre l'Etat tunisien, et que le président Kais Saied avait qualifiées de "terroristes".
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