Ryad Boudebouz, la nouvelle coqueluche du football algérien, a bien failli mettre un terme à sa jeune carrière internationale. La faute à une indélicatesse d'un dirigeant de la fédération qui pressait le Sochalien de rejoindre les Fennecs au plus vite.
Du haut de ses cinq sélections, Ryad Boudebouz est en train de devenir, aux yeux de nombreux observateurs, une pièce maîtresse de l'équipe nationale algérienne. Malgré tout, l'histoire d'amour, entamée juste avant la Coupe du monde, a failli tourner au vinaigre. Tout commence comme d'habitude : le meneur de jeu de Sochaux reçoit sa convocation pour la rencontre Centrafrique-Algérie, comptant pour les éliminatoires de la Coupe d'Afrique, et le stage de préparation. Rendez-vous est pris pour mercredi, comme prévu par le règlement de la FIFA qui autorise les clubs à libérer leurs internationaux cinq jours avant le match officiel. Tout dérape lorsqu'un (...)
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Du haut de ses cinq sélections, Ryad Boudebouz est en train de devenir, aux yeux de nombreux observateurs, une pièce maîtresse de l'équipe nationale algérienne. Malgré tout, l'histoire d'amour, entamée juste avant la Coupe du monde, a failli tourner au vinaigre. Tout commence comme d'habitude : le meneur de jeu de Sochaux reçoit sa convocation pour la rencontre Centrafrique-Algérie, comptant pour les éliminatoires de la Coupe d'Afrique, et le stage de préparation. Rendez-vous est pris pour mercredi, comme prévu par le règlement de la FIFA qui autorise les clubs à libérer leurs internationaux cinq jours avant le match officiel. Tout dérape lorsqu'un (...)
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