M. Kamto et des centaines de ses sympathisants avaient été arrêtés fin janvier après des manifestations pacifiques pour protester contre le résultat de la présidentielle de 2018, qui le plaçait en deuxième position derrière Paul Biya, chef de l'Etat depuis 36 ans.L'audience a été renvoyée au 8 octobre pour que tous les accusés comparaissent, a expliqué à l'AFP Me Michel Ntchalé, l'un des avocats de M. Kamto. L'information a été confirmée à l'AFP par un autre avocat de la défense, Anges Kevin Nzigou.Christian Penda Ekoka, ex-conseiller économique du président Biya et coaccusé de M. Kamto, a fait un malaise au début de l'audience, a-t-il expliqué."La salle d'audience est exiguë, mal aérée. Nous suffoquions. Je pense que c'est ce qui a occasionné le malaise de M. Penda Ekoka", assure Me Ntchalé.
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