Q - Hier, M. Fabius espérait que la querelle diplomatique avec le Maroc "appartenait au passé" mais la tension est loin de s'apaiser, Rabat ayant suspendu sa coopération judiciaire avec Paris.
Comment interprétez-vous ce nouvel épisode ? Les explications fournies par Paris n'ont de toute évidence pas satisfait Rabat, quels gestes comptez-vous faire pour apaiser la colère marocaine ?
R - Nous poursuivons notre dialogue étroit avec les autorités marocaines pour surmonter les difficultés récentes que nous avons rencontrées, dans l'esprit de l'amitié confiante qui lie nos deux pays.
Comme le président de la République et le roi du Maroc en sont convenus lundi soir, les ministres des affaires étrangères des deux pays se sont entretenus mardi pour dissiper les malentendus, étudier les mesures qui devraient être adoptées et réaffirmer l'attachement réciproque au partenariat d'exception qui lie le Maroc et la France.
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