La France condamne les actes odieux qui, le 5 février, ont suivi le rassemblement d'éléments des forces armées centrafricaines.
La France soutient la décision de la présidente Catherine Samba-Panza d'ordonner une enquête, afin que les auteurs des violences soient identifiés et répondent de leurs actes devant la justice. Ces exactions appellent des sanctions exemplaires. En aucun cas, la vengeance ne saurait être une forme de justice.
La France rappelle que le mandat de la MISCA, force de l'Union africaine engagée en République centrafricaine et qu'appuie la force française Sangaris, vise au premier chef à protéger les civils et à mettre fin aux violences, en application de la résolution 2127 du conseil de sécurité des Nations unies.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.