« Les autorités congolaises doivent mettre un terme immédiat au harcèlement des syndicalistes-enseignants et respecter les procédures légales concernant le colonel Marcel Ntsourou et ses proches » a déclaré Trésor Nzila, directeur exécutif de l'OCDH.
Les cas de violations des droits humains présentés dans la note démontrent comment les autorités congolaises instrumentalisent la justice à des fins de répression à motivation essentiellement politique, pratiquent la torture et les mauvais traitements dans les lieux de détention et criminalisent la protestation sociale afin de faire taire toute voix divergente.
« La torture et les mauvais traitements sont strictement prohibés par la Convention des Nations unies contre la torture, à laquelle le Congo est partie. Elle oblige les autorités à poursuivre les auteurs et responsables de ces actes odieux. » a déclaré Paul Nsapu, secrétaire général de la FIDH. « Le gouvernement doit cesser toute répression contre les syndicalistes-enseignants qui ne font que défendre pacifiquement les droits des travailleurs ; et contre les opposants politiques qui sont soumis à toutes sortes de pression et de harcèlement » a-t-il ajouté.
Envie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nousEnvie d'afficher votre publicité ?
Contactez-nous
L'espace des commentaires est ouvert aux inscrits.
Connectez-vous ou créez un compte pour pouvoir commenter cet article.