Dans un communiqué, les chefs des confessions religieuses estiment que "les modalités" de leur participation "s'avèrent incompatibles avec leur statut de chefs spirituels. Il s'agit surtout de leur implication dans la gestion au quotidien des fonds publics".A la place, les confessions religieuses proposent de modifier l'ordonnance présidentielle pour leur permettre d'animer "un conseil consultatif" qui "fera régulièrement le suivi de la gestion du FNSCC et donnera ses avis au président de la République pour la bonne gestion des fonds et matériels récoltés".L'archevêque de Kinshasa, le cardinal Fridolin Ambongo, avait été nommé coordonnateur du FNSCC par ordonnance présidentielle le 22 avril, avec pour coordonnateur adjoint le révérend André Bokundoa, président de l'Eglise du Christ du Congo (ECC, protestant).Ce fonds doit être financé par l'Etat, les entreprises publiques ou privées et les bailleurs de fonds.
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