Un an après la promulgation de la nouvelle Constitution, qui fait passer le Togo d’un régime semi-présidentiel à un régime parlementaire, l’opposition continue de la contester en parlant de “coup d’État constitutionnel”.
Le 23 mars 2025, elle a organisé un meeting contre la réforme constitutionnelle, qu’elle considère comme un moyen pour Faure Gnassingbé de prolonger son pouvoir.
Cette mobilisation intervient alors que les premières mesures concrètes de la réforme, comme l’installation du Sénat et la nomination de son président, prennent forme.
Le gouvernement défend la légitimité de cette nouvelle Loi fondamentale en mettant en avant la consolidation de la démocratie et la rationalisation du paysage politique.