Retrouvez l'actualité sur boko haram avec Africa Radio
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Contactez-nousDix ans après la réactivation de la Force multinationale mixte (FMM) par le Nigeria, le Tchad, le Cameroun et le Niger, une coalition formée pour combattre les groupes jihadistes, Niamey quitte cette coalition.
Vingt soldats camerounais ont été tués mardi 25 mars dans le nord-est du Nigeria lors d’une attaque attribuée à Boko Haram. L’attaque a eu lieu près du lac Tchad, une zone instable où opèrent des groupes jihadistes affiliés à Boko Haram et à l’État islamique en Afrique de l’Ouest.
Des villageois de Souledé-Roua, dans l'Extrême-Nord du Cameroun, ont tué deux chercheurs et leur guide, dimanche 2 mars. Ils pensaient avoir affaire à des djihadistes de Boko Haram, actifs dans cette région. Le Syndicat national des chercheurs dénonce un "meurtre horrible".
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Contactez-nousAmnesty International alerte sur la situation au Nigéria où les autorités prévoient de fermer les camps de déplacés internes.
Après plus de dix ans d'insurrection, le décès d'Abubakar Shekau porte un coup sévère à Boko Haram, mais ne signifie pas la fin du jihadisme dans le Nord-Est du Nigeria, où le groupe lié à l'Etat islamique se trouve renforcé, et où des combats entre factions rivales persistent.
Le chef de Boko Haram, Abubakar Shekau, s'est suicidé lors de combats contre le groupe jihadiste rival de l'Etat islamique en Afrique de l'Ouest (Iswap), a affirmé celui-ci dans un enregistrement audio diffusé deux semaines après de premières informations faisant état de sa mort.
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Contactez-nousEn plus de dix ans de conflit dans le nord-est du Nigeria, le chef du groupe jihadiste Boko Haram Abubakar Shekau a été donné pour mort au moins cinq fois, avant de réapparaître.
Au moins 300 élèves dont le rapt avait été revendiqué par le groupe jihadiste Boko Haram ont été relâchés par leurs ravisseurs dans le nord-ouest du Nigeria, ont indiqué jeudi les autorités locales de l'Etat de Katsina.
Les gangs criminels à l'origine de l'enlèvement vendredi de centaines de lycéens dans le nord-ouest du Nigeria ont agi pour le compte du groupe jihadiste Boko Haram, mais les autorités espèrent réussir à négocier leur libération.
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Contactez-nousUmar Ahmad, lycéen nigérian de 18 ans, marche avec difficulté.Ses pieds sont entaillés de plaies, écorchés par les épines pendant sa fuite terrifiante à travers la brousse pour échapper à ses ravisseurs.
Boko Haram a envoyé "un terrible message politique" en affirmant être derrière le rapt de masse de lycéens dans le nord-ouest du Nigeria, au grand dam du président Muhammadu Buhari et de l'armée, incapables d'arrêter la propagation des violences.
Abubakar Shekau, leader de Boko Haram, a revendiqué l'enlèvement de plusieurs centaines de lycéens dans le nord-ouest du Nigeria, dans une zone éloignée de leur bastion marquant un tournant important dans l'expansion du groupe jihadiste.
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Contactez-nous"Des insurgés nous ont prévenus que nous allions tous être égorgés", raconte "Abdul" (un nom d'emprunt pour raisons de sécurité), un agriculteur de 24 ans rescapé du massacre perpétré par le groupe jihadiste Boko Haram samedi dans le nord-est du Nigeria.
Au moins 43 agriculteurs ont été tués par Boko Haram dans l'Etat du Borno, dans le Nord-est du Nigeria, où se déroulent samedi les premières élections locales organisées depuis le début de l'insurrection jihadiste en 2009.
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