Retrouvez l'actualité sur Cameroun avec Africa Radio | Page 20
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Contactez-nousHuit enfants ont été tués et une douzaine d'autres blessés samedi dans l'attaque de leur salle de classe au Cameroun anglophone, en conflit depuis près de trois ans, un crime "horrible" vivement condamné par la classe politique camerounaise et l'Union africaine.
Les experts des droits de l'Homme des Nations unies ont demandé au Cameroun "de libérer le principal dirigeant d'opposition", Maurice Kamto, "et les autres individus arrêtés" lors des manifestations du 22 septembre, dans un communiqué.
Le président du principal syndicat de journalistes du Cameroun a vivement condamné jeudi l'interpellation de huit reporters et les violences commises contre certains par les policiers, lors de manifestations mardi réclamant le départ du président Paul Biya, à l'appel de l'opposition.
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Contactez-nousLa police a rapidement dispersé mardi quelques centaines de manifestants à Douala, la capitale économique du Cameroun, rassemblés à l'appel solennel de l'opposition qui a finalement très peu mobilisé dans le pays face à un impressionnant déploiement des forces de sécurité.
"Paul Biya doit partir": une cinquantaine d'opposants au président camerounais ont manifesté mardi à Paris devant l'ambassade de leur pays, et ont été repoussés par des policiers après des jets de projectiles, selon un journaliste de l'AFP sur place.
Quatre militaires camerounais ont été condamnés à dix ans de prison ferme lundi et un autre à deux ans pour l'"assassinat" en 2015 de deux femmes et leurs deux enfants, criblés de balles dans le nord du pays.
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Contactez-nousLe gouvernement camerounais et plusieurs figures de la contestation séparatiste des deux régions anglophones de l'ouest pays ont entamé jeudi des discussions à Yaoundé sur un cessez-le-feu, une première depuis le déclenchement de ce sanglant conflit il y a trois ans.
En proie à des crises sécuritaire et politique, embarrassé par des bavures militaires, le Cameroun de l'indéboulonnable Paul Biya se retrouve contraint de lâcher du lest sous l'intense pression des défenseurs des droits humains, de l'ONU et d'alliés autrefois moins regardants.
Le journaliste camerounais Samuel Wazizi, arrêté en août 2019 pour avoir critiqué la gestion par Yaoundé de la crise anglophone au Cameroun, est mort en détention, a affirmé Reporters sans frontières (RSF), qui appelle les autorités à faire toute la lumière sur les circonstances de sa mort.
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Contactez-nous"Gestion calamiteuse", absence de "rigueur", "maladresses": les mesures pour lutter contre le coronavirus au Cameroun déclenchent des avalanches de critiques dans un des pays les plus affectés par la pandémie en Afrique subsaharienne.
La lutte contre le coronavirus a ravivé au Cameroun une guerre des chefs entamée dans les urnes il y a près de deux ans, entre l'indéboulonnable Paul Biya et son principal opposant, Maurice Kamto, qui se proclame "président élu".
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Contactez-nousNotre invité Léon Koungou, chercheur en politique de sécurité à la Fondation Friedrich-Ebert-Stiftung, analyse la reconnaissance par la présidence camerounaise du massacre de civils par l'armée.
Yaoundé a envoyé un signal positif en admettant -- laborieusement et sous pression internationale -- que des militaires ont tué des civils dont 10 enfants, en février dans un village du Cameroun anglophone séparatiste, estiment l'ONU et des ONG, même si des zones d'ombre demeurent.
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